Aux Enfants de la Nuit, Greyback + Lucie

*Descend donc prestemment les escaliers pour aboutir dans la grande salle et cherche la personne qui a envoyé l'espion...*




(lucie tu est tout a fait autorisée à dire aux autres qu'il y a un espion à BB. Par contre par pitié tu ne sais pas qui merci.................)

* Lucie écoute par l'intermédiaire de l'araignée la petite discution en haut *

Citation :

Je veut TOUT savoir de ses agissements.

* grimace *

J'ai loupé quelque chose d'important là...grrrrrrrrrrrrr

* entend un bruit de lutte puis distingue mal les paroles qui suivent...*

Citation :

-Et si tu tiens à pouvoir encore une fois aligner trois .... digne de ce nom, tu iras meme jusqu'à trouver le moyen de la faire sortir du chateau. Sinon je te retrouverais et briserais personnellement ce chef d-oeuvre. De toutes façons sans mains il ne te servirait pas à grand chose. Tu la fais sortir et tu me l'envoie c'est clair?

* sourit *

Bien, au moins, ça n'aura pas été inutile...il y a donc un espion à Beauxbâton...mais qui...je devrai aller voir...

* entend un bruit de pas puis plus rien *

Oups, finalement, on va venir me rendre une petite visite...

* tourne les pages de son livre et aperçoit du coin de l'oeil un type descendre...occlumancie on*

bien, on va s'expliquer avec le monsieur...si il se rend compte que c'est moi...mais je pense que je suis la seule personne suspecte ici...

*Inspecte tranquillement la salle, d'autant plus tranquillement qu'il se tient devant l'entrée et que personne ne sortira sans lui passer sur le corps au sens propre.

Remarque quelques saoulots à peine capables de tenir debouts, des gamins, des harpies trop occupées à déchiqueter de la viande, des vieilles p**** qui attendent la fin de la nuit pour accepter leur décadence et... une femme pas trop décatie, pas éméchée et pas à sa place.

S'avance tout aussi tranquillement vers elle, attrappe une chaise et s'installe à coté d'elle, lui bloquant tout accès à la sortie.

Commence d'une voix basse et vibrante, celle où résonne suffisamment de menaces pour prouver qu'il ne va pas parler de la pluie et du beau temps.*

-Puis je vous demander ce que vous faites là Madame? Ce bouge n'est pas du tout à votre niveau....

*regarde la femme. Non, elle vaudrait au moins le VEP*

* ne lève pas tout de suite les yeux de son livre, laisse le Môsieur s'installer *

Citation :

-Puis je vous demander ce que vous faites là Madame? Ce bouge n'est pas du tout à votre niveau....

* le regarde, marque sa page et range son livre *

bingo...

* ton dégagé *

- Il est vrai que je ne semble pas à ma place...Disons que je m'ennuie un peu...Pas de distraction depuis la scène au ministère...

* soupire *

- Apparamment on n'a pas besoin de moi...C'est bien dommage...

*Ton badin, qui ne cache pas qu'il la dévisage des pieds à la tête et cherche à savoir jusqu'à quel point elle ment. Parce qu'elle ment cela se sent.
Mais à quel point?*

-Je connais des endroits où une "fleur" telle que vous serait bien plus à votre place et auriez bien plus de compagnie... Mais que faites vous ici plus précisément?

[edit : tite mouche] *s'en vient se poser sur le rebord d'un verre et regarde amoureusement le gentil mossieu qui cause à la saleté de Dame*[/edit]

*Chasse d'un revers nonchalant de la main les mouches qui tournent paresseusement autour des verres*

[edit : tites mouches] trois mouches, dérangées par le mouvement du sorcier, prennent leur envol et finissent par se pamer... deux à cause de l'odeur, et l'une.. allez savoir pourquoi....[/edit]

-Effectivement je ne trouve aucune raison plausible à votre présence dans ce bouge. Mais plausible ou non vous devrez m'en donner une à moins de finir cette charmante conversation dans un bouge encore plus infâme et moins bien fréquenté.

*se redresse dans son siège, beaucoup moins badin*

-Et j'aimerais également voir votre baguette s'il vous plait...

*ton qui sous entend que le s'il vous plait n'est là que pour la figuration*

*Se rappelle enfin l'avoir vu parler avec Andrassi et Nott.*

-Si l'imbécile qui pense avoir besoin d'une apprentie espionne aussi peu discrète ne vous a pas encore contacté, ce qu'il n'a pas besoin de vous.

*Se renfonce dans sa chaise.*

-Et je vous conseille dans ce cas de ne pas vous mèler de ce qui ne vous concerne aucunement. ou vous seriez la première a inaugurer les prisons atremagiennes...

-Vous ne pourrez de toutes façons pas me laisser MOINS méfiant... Faites donc à votre guise...

*Fait un geste vers la porte*

-Et respectez les ordres du Comte... sinon c'est moi qu'il chargera de les faire appliquer.

*Nonchalamment renfoncé dans sa chaise attend qu'elle se décide à partir ou parler... A des recherches à faire et aimerait beaucoup s'y mettre de suite...*

[color=black]* révèrence *

- Je m'en tiendrai aux ordres...Au plaisir...

* va au comptoir payer sa boisson et s'en va, sans regarder en arrière *

Bien bien...Mais j'aurai pu faire mieux...

rue

*Regarde la femme s'éloigner. Se demande ce qu'il prend à Andrassi de faire confiance à des gens qu'il ne connait ni de Maab ni d'Obéron.
Et; alors qu'il se lève pour regagner sa chambre, pense qu'il devra garder un oeil sur elle pour deux...

Monte, se couche et dort du sommeil du juste (comme quoi il y a des expressions qui tombent mal) jusqu'à une heure avancée de la matinée, puis il se prépare pour quelque chose qui s'annonce plus intéressant que les mièvres cérémonies de la veille. Une exécution...

Sourit en quittant le bouge. Une exécution voilà un spectacle plaisant....*

pré au lard

ruines de l'ambassade de France

*Revient de l'ambassade dans un état vestimentaire relativement déplorable: vêtements roussis, couverts de cendre et de poussière.

Monte donc rapidement dans sa chambre, en ayant une pensée pour le fait qu'il ferait mieux de se trouver rapidement un logement plus adapté à sa nouvelle fonction et à ses besoins spatiaux.
Prend une douche, met la main sur des vêtements propres et entiers, et requitte le bouge pour se rendre chez le bibliothécaire*

Chez Nott. l'a intérêt à y être! :D

*Une simple feuille qui porte le titre du "Phénix Flamboyant" se dépose automatiquement sur le comptoir. Le même pamphlet atterri au meme moment dans tous les foyers sorciers abonnés à la Gazette. Mais ce pamphlet ne contient aucun moyen de l'identifier, ou sa provenance...*

Cassandra a écrit:

Le Phénix Flamboyant

Lorsque la vérité et le droit sont bafoués, lorsque la presse est muselée, lorsque la population est violentée, le bien se doit de renaitre de ses cendres et de flamboyer.
Il doit y avoir de l'espoir.
Il y aura de l'espoir si vous ne cédez pas.
Luttez contre les atremages, résistez leur!

car

J'écris dans un pays dévasté par la peste
Qui semble issu d'un cauchemar de Goya
Où les chiens n'ont d'espoir que dans la manne céleste
Et des squelettes blancs cultivent le soya

Un pays en tous sens parcouru d'escogriffes
A coup de fouet chassant le bétail devant eux
Un pays disputé par l'ongle et par la griffe
Sous le ciel sans pitié des jours calamiteux

Un pays pantelant sous le pied des fantoches
Labouré jusqu'au coeur par l'ornière des roues
Mis en coupe réglée au nom du roi Pétoche Dragoche
Un pays de frayeur en proie aux loups-garous

J'écris dans ce pays où l'on parque les humains
Dans l'ordure et la soif et le silence et la faim
Où la mère se voit arracher son fils comme
Si Hérode régnait quand Laval Andrassi est dauphin.

J'écris dans ce pays pour ce Ministère que le sang défigure
Qui n'est plus qu'un monceau de douleur et de plaies
Une halle à tous vents que la grèle inaugure
Une ruine où la mort s'exerce aux osselets

J'écris dans ce pays tandis que la police
A toute heure de la nuit entre dans les maisons
Que les inquisiteurs enfoncent leurs éclisses lancent leurs doloris
Dans les membres brisés guettent les trahisons

J'écrit dans ce pays qui souffre milles morts
Qui montre à tous les yeux ses blessures pourprées
Et la meute sur lui grouillante qui le mord
Et les valets sonnants dans leurs cors la curée

Voilà ce qu'est votre pays, voilà ce qu'est l'Angleterre désormais. Voilà ce qui me pousse à me lever contre les Atremages.

Faites de meme.

Cassandra.

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Bien sur ce poème n'est pas de moi mais d'Aragon, "Un pays dévasté par la Peste"....

rue

*pousse donc la porte et va se caler dans un coin discret. très discret.. parceque les gens là.. c'est pas la même graine que ceux qu'il vient de quitter*

*moufte pas. ici y'a pas que des rigolos de foire*

*observe, en se demandant ce qu'il va bien pouvoir commander si on vient lui poser des questions...*